odysseedubienetre.beLe sexônia est un changement de sommeil qui provoque la personne à avoir des comportements sexuels pendant le sommeil, en faisant gémissant, à tâtons son compagnon et même initier des mesures similaires à un contact étroit ou masturbation.
Habituellement, ce type de comportement est plus fréquent chez les hommes, mais il peut également affecter les femmes, en particulier pendant les périodes de stress et de fatigue. De plus, l'usage fréquent d'alcool ou de drogues est également plus à risque.
Si les soupçons de sexônia est conseillé de consulter un psychologue ou un médecin spécialisé dans les troubles du sommeil, pour confirmer le diagnostic et commencer le traitement qui est fait habituellement avec des médicaments et la psychothérapie.
Le principal symptôme de sexonia est l'apparition de comportements sexuels pendant le sommeil, tels que:
Les personnes handicapées mentales ne se souviennent généralement pas des comportements qu'elles avaient pendant leur sommeil, de sorte que les personnes avec qui elles partagent un lit ou une maison peuvent être les premières à remarquer qu'il se passe quelque chose.
Lorsqu'elle est confrontée à son comportement durant le sommeil, la personne peut éprouver divers sentiments négatifs, tels que le déni, la honte, la colère ou la tristesse, qui peuvent aggraver les maladies sexuellement transmissibles.
Le traitement doit être instauré le plus tôt possible pour éviter que le professionnel du sexe continue d'avoir des sentiments négatifs sur son comportement. Dans la plupart des cas, ce traitement est fait avec une combinaison de remèdes et de thérapie psychologique.
Les médicaments les plus couramment utilisés sont les antidépresseurs et anxiolytiques, comme Alprazolam et Diazepam car ils permettent le sommeil est plus paisible et profond, ce qui réduit les chances d'avoir des comportements sexuels.
De plus, pour augmenter le confort, il peut être conseillé à la personne pendant le traitement de dormir seule dans une pièce et avec la porte fermée, par exemple.
