Une technique simple pour que votre enfant mange mieux
Une bonne stratégie pour que votre enfant mange mieux est de remplacer les aliments que votre enfant n'aime pas mais devrait manger pour d'autres aliments qui ont les mêmes caractéristiques nutritionnelles. Par exemple, s'il n'aime pas le kiwi, il existe d'autres aliments riches en vitamine C comme l'orange et la fraise, qu'il peut manger coupés ou même mélangés dans des jus dont le goût est masqué et la couleur attire.
Parfois, il n'est pas nécessaire de substituer la nourriture, mais seulement l'utiliser différemment que l'enfant déjà accepté. Si l'enfant n'aime pas les pois, vous pouvez écraser les pommes de terre avec des pois ou mettre une petite quantité de petits pois dans la soupe et battre tout dans le mélangeur parce que le goût devient plus déguisé et l'enfant mange mieux.
Un autre bon exemple est lorsque l'enfant n'aime pas les agrumes, comme la fraise, dans ce cas, ce que l'on peut faire est une vitamine qui joint le lait, la banane et la fraise au lieu de n'offrir que la fraise. De cette façon, l'enfant s'habitue au goût et en peu de temps commence à mieux accepter cette nourriture qui a été rejetée auparavant.
Aliments ayant la même valeur nutritionnelle
Certains aliments ayant la même valeur nutritive et se substituant l'un à l'autre sont:
- La vitamine A - la carotte, la papaye et la citrouille;
- Vitamine C - orange, kiwi, citron, fraise, mandarine et ananas;
- Vitamine K - épinards, brocolis, asperges, chou, haricots verts;
- Fer - viande, foie, pain d'orge, pois, pois chiches;
- Calcium - lait, fromage, yaourt, caroube, épinards, tofu.
L'important est de varier les aliments pour s'assurer que l'enfant a une alimentation saine avec tous les nutriments nécessaires et n'abandonne pas lorsque l'enfant refuse une première fois certains aliments parce qu'ils doivent apprendre à goûter un nouveau goût en essayant 10 fois avant Décidez que vous ne l'aimez pas, jusqu'à ce que vous appréciez vraiment sa saveur.
Une autre stratégie qui peut aider est de mettre l'enfant à manger les aliments «difficiles» avec un autre enfant qui le mangera sans problèmes parce que, en voyant le petit ami à manger, elle peut aussi vouloir manger.
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